INDUSTRIEL
« Les somnolents souhaitent être entendus. Leurs voix une cyclone, Leurs rêves font la vérité. Les oppresseurs n’ont pas des entrées auditives. Ne savent jamais des réponses, Ne savent jamais où et comment il s’agît.
Heureux les journalistes qui croient en eux memes. Jusqu’á la nuit qui tombe lourdement sur eux. Les somnolents seront entendus.
Jamais trop tard; Tantôt les rêves sont longues mais réelles. Le sommeil quitte les yeux, c’est la reconnaissance. »